Journal de bord : deuxième partie

Semaine de 24 & 26 octobre

Commentaire sur l’apprentissage :

Cette semaine je n’avais pas de problème avec la compréhension même si j’étais vraiment fatigue à cause des examens de mi-session. J’en avais trois cette semaine. Le texte de Cottret m’aide parce que je l’ai lu avant la classe. Le bloc que j’aime le plus jusqu'à maintenant est le bloc des pouvoirs politiques. Je trouve que les textes sont plus facile de comprendre que les unes de Labatut et Flandrin, et aussi plus applicables à ce que je voudrai apprendre. Mes notes du cours sont encore écrites avec plein d'erreurs d’orthographie, mais je trouve que c’est difficile de faire tous les accents et les accords en essayant d’écrire tout que je puisse et que Mme Perrier dise. Après chaque cours, il serait utile si je reviens pour faire des corrections.

Vocabulaire nouveau :

• Déchirée – mettre en morceaux, partager en deux

« Enfin, l’Angleterre, longtemps déchirée par ses conflits intérieurs… » p 177, texte de Berstein et Milza

• La Fronde, Les Frondeurs – Sédition qui éclata contre Marazin (un cardinal), personnes qui soutiennent la Fronde.

« La Fronde ne tient que par l’ennemi commun, le souverain absolu » et « …les Frondeurs se montent incapable d’organiser en France un nouveau pouvoir. » p 178, texte de Berstain et Milza

• Ecarter – mettre à quelque distance les unes des autres, séparer, éloigner.

M. Perrier a dit que les nobles étaient malcontent parce que ils sont écarte du pouvoir. Alors, ça veut dire que la noblesse est perdue une peu du pouvoir.

• Échapper – cesser de être prisonnier (autre contexte : Son nom m’échappe – je ne peux pas en souviens).

« Surtout, le Portugal échappe à l’Espagne. » p. 181, texte de Berstain et Milza

• Envahisseur – quelqu’un qui est un ennemi, qui aimerait occuper un territoire qui ne lui appartient pas. (Envahir – occuper)

« …les Turcs, envahisseurs du monde chretien. » p. 182, texte de Berstain et Milza

Personnage Historique :

Frédéric II de Prusse, Frédéric le Grand (1712-1786)

• Il est entré son pays dans la cour des grandes puissances européennes. Il devint (passé simple !) célèbre pour avoir été l'un des porteurs de l'idéal du prince des lumières en tant que despote éclairé. La guerre de Sept Ans rendit le nom de Frédéric II populaire, non seulement par l’héroïsme, mais parce qu’on voyait en lui le représentant d’une cause nationale. Frédéric a mène plusieurs réformes : judiciaires, culturelle, économiques et politiques. Par exemple, il a supprime la torture, il a créé l’Opéra de Berlin, il a acquit plusieurs œuvres d’art, il a pratique la politique mercantiliste, et il a développé le commerce, la finances et les transports. Il a mène très peu reformes sociales car il ne supprime pas le servage ou les privilèges de la noblesse. Il a aussi pratique la centralisation du pouvoir dans ses mains. Son objectif n'a jamais été d'unifier l'Allemagne contre les Habsbourg mais d'agrandir la Prusse.